Qui a dit qu’à la rentrée c’était la fin des soirées ? Sûrement pas moi ! A Cannes, ce 1er septembre avait lieu le 10ème gala du magazine d’art de vivre, l’Epicurien, sur le toit-terrasse dont je ne me lasse pas de la vue : Le Radisson Blu.
ATTENTION : Dans cet article, aucune photo de moi, vu que j’ai passé la soirée comme un hamster avec un petit four dans la bouche du côté gauche et une bouchée de caviar dans l’autre, sans compter l’élément indispensable pour faire passer tout ça : ma flûte de boisson à bulles dans les mains !
L’Epicurien : le concept de l’Art de vivre
Pour fêter ses 10 ans à distiller de la gastronomie par ses boutiques aux 4 coins de la France et de son magazine de référence, l’Epicurien a mis les petits plats et les grands ce lundi 1er septembre à Cannes pour recevoir des invités prestigieux et triés sur le volet dont moaaaa (la classe, non ?).
Pour nous faire patienter jusqu’aux 10 chefs de renom et aux 10 chefs pâtissiers hissés jusqu’au toit de l’hôtel Radisson Blu pour préparer le meilleur de leurs recettes, au rez de chaussée, de nombreux exposants présentaient leurs produits. A 3 exposants et demi, je suis déjà repuse (voir WikiAbla).
Oh mais ne serait-ce pas là des chefs encore qui prépare des petites choses ?
#miam
A 20h, j’obtiens mon titre de transport pour l’ascenceur direction le toit, l’eden des gourmets ce soir-là.
Dans une ambiance chaleureuse, presque familiale, Christophe Gorgeret, l’heureux créateur de l’Epicurien présente les chefs et pâtissiers qui se sont décarcassés pour que ces 10 ans restent dans les papilles… Parmi eux, Jacques Chibois, Didier Anies, Arnaud Tabarec, Nicolas Salle, David Faure, Bruno Laffargue…
Moi, j’ai déjà les yeux plein les buffets ! Quelques bouchées avalées plus tard, vu mon haut statut de gourmande, je suis invitée dans le VIP ultra bouffe… Et là c’est le drame l’orgie…
Bref, un océan de saveurs dans le restaurant 360° qui surplombe le port de Cannes, où même si mon ventre tiraille tant il est repu, mes papilles, elles, ne résistent pas à la dégustation de caviar à la truffe sur la main ni au risotto à la truffe croquante…
Peu prévoyante, je ne garde pas de place pour le dessert pourtant monumental et coloré, juste une petite sucette au chocolat au cœur coulant à la cerise et hop… je clos ce marathon de dégustation par une petite danse en l’honneur de l’Epicurien, réalisée sûrement par les bulles qui ont égayé ce dîner gargantuesque…
Ce gala de l’Epicurien fût une formidable répétition pour mon prochain événement gastronomique que je ne manquerai sous aucun prétexte : les Etoiles de Mougins. Mais promis, je vous parle très vite de ce festival gourmand très vite.
Des bisouilles
AblaCarolyn