A propos d’AblaCarolyn

Qui suis-je ?

Tel Obélix, je suis tombée dans la marmite de l’écriture toute petite. La métaphore s’arrête là #paixamontourdetaille.

Si aujourd’hui ce sont les thématiques gastronomie, tourisme ou entrepreunariales qui constituent la majorité de mes textes, c’est la musique qui m’a inspiré mes premières lignes.

C’était au début des années 90 sur l’album de U2 « The Joshua Tree ». Mon casque de walkman vissé sur la tête, je noircissais mon carnet à carreaux de ce que le titre « where the streets are no name » m’inspirait.

A cet instant précis, vous vous dîtes sûrement que c’est une voie classique qui m’a amené à faire de ma passion, mon métier. Eh bien non !

J’ai d’abord suivi des études de marketing, travaillé plusieurs années en agence de publicité à Paris, avant de m’installer sur la Côte d’Azur et attendu longtemps avant qu’une bonne fée se penche sur ma plume et me donne l’opportunité d’exercer cette passion.

En parallèle, l’ère du web débutait. Oui j’ai connu le modem 56 K et ce fameux petit bruit qui signalait la connexion.

Très vite, j’ai attrapé le virus du world wild web. J’ai même créé mon premier blog sur myspace, un ancêtre des réseaux sociaux. Les dinosaures d’internet s’en souviendront peut-être.

Alors même que l’on découvrait mes premiers textes sur papier glacé, je songeais déjà à tout quitter pour entreprendre sur le web à l’aide d’un site internet qui piquait pas mal les yeux. C’est là que j’ai gagné mes premiers euros dans le digital en vendant de la publicité.

Puis, j’ai rejoint un site internet d’actualités féminines. A l’époque, les principes pour faire de la visibilité sur internet étaient beaucoup plus simples qu’aujourd’hui et le succès fût au rendez-vous très rapidement. Plusieurs centaines de visites par jour sur des sujets aussi variés que la dernière tenue de Rihanna, le féminisme ou encore les plus beaux gâteaux d’Halloween.

C’est à peu près à cette période que le mot « slasheur » est apparu dans le monde du travail. Cette tendance générationnelle à exercer plusieurs métiers plutôt que de suivre une carrière toute tracée et découlant des études menées.

Alors j’ai créé mon job sur mesure. Une agence de communication pluridisciplinaire où j’ai exercé mes premières missions de relations presse, de création de sites web et de community management. A l’époque, Instagram en était à ses balbutiements et la gestion de communauté consistait à publier des visuels engageants sur facebook ou des tweets en ASCII art pour montrer sa créativité. Quelqu’un s’en souvient parmi vous ?

Mais ce qui m’a permis d’atteindre une petite notoriété locale grâce au web ce sont mes aventures en IRL lors du Festival de Cannes.

Avec une spécialiste du SEO très connue dans le monde fermé des référenceurs à l’époque, nous avons choisi de raconter nos péripéties Cannoises au quotidien entre montée des marches et soirées privées sur un blog dédié.

De talons de 12 en macarons et boissons à bulles (des accessoires qui désormais sont rentrés dans ma petite légende grâce à vous !), j’ai même fini par avoir ma propre émission de TV sur une chaîne locale et une de radio.

Forte de cette micro-notoriété, j’ai choisi de m’émanciper et de lancer ce blog en 2014. C’est là que j’ai eu mes premières victoires en SEO grâce à des articles qui ont même réussi à faire tellement de visites que mon serveur n’a pas tenu !

Depuis, je navigue entre l’écriture journalistique pour des médias régionaux, la rédaction SEO dont je n’ai pas fini d’explorer les contours tant c’est passionnant ! Et des missions d’accompagnement en consulting marketing et communication en parallèle du webzine que j’ai créé Riviera City Guide.

Mais le fil rouge de ces 10 dernières années ? L’entrepreunariat.

Et croyez-moi, ce n’est pas un long fleuve tranquille !

D’échecs en réussites, de perte de motivation à l’élan d’un nouveau projet, de la nécessité de se réinventer, le parcours d’un indépendant est semé d’embûches.

Alors aujourd’hui c’est cette expérience que j’ai envie de partager avec vous. Mes astuces au quotidien pour s’organiser quand on n’a pas de tête comme moi. Mes conseils et mes ressources aussi pour mieux communiquer sur son activité quand on est indépendant. Ou tout simplement donner la parole à des entrepreneuses inspirantes.

Mais parce que je suis définitivement une slasheuse (et non une influenceuse comme longtemps j’ai été injustement nommée), je partage avec vous quelques-unes de mes passions : la cuisine, les voyages, la déco et bien sûr ma Côte d’Azur.

Ah au fait…

Ce texte vous a plu ? Si vous me laissiez écrire le vôtre ? Je vous laisse m’écrire un petit mot par ici si vous avez besoin d’un coup de plume ?

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